Les chemins, les tranchées naturelles, tout ce qui pouvait offrir un abri aux comabattants était jonché de cadavres lorsque prit fin la terrible bataille de Tzer.
Les ambulances serbes ne suffisaient pas à leur tâche.
Après l’horrible fracas de la mitraille et le tonnerre des canons, le silence de ces plaines dévastées est plu lugubre et plus affreux.